Démission de Sébastien Lecornu : les réactions dans la Loire
Publié : 6 octobre 2025 à 16h30 par Anthony Perrel
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La France n'a plus de Premier ministre
C'est le coup de théâtre de ce lundi 6 octobre. Sébastien Lecornu, nommé Premier ministre il y a 27 jours, a décidé de jeter l’éponge. Il aura été le 1er ministre plus éphémère de l’histoire. "Les conditions n’étaient pas réunis pour gouverner (...) Il faut toujours préférer son pays à son parti (une allusion à peine cachée au comportement du Président des LR, Bruno Retailleau)", c’est ce qu’il a expliqué, en substance, après avoir remis sa démission à Emmanuel Macron, qui l'a acceptée. On rappelle que Sébastien Lecornu avait présenté une partie de son gouvernement, ce dimanche soir.
Les réactions, elles, ne se sont pas faites attendre au niveau des différents partis. Dans la Loire, la députée Insoumise de Saint-Etienne, Andrée Taurinya, a réagi dans la matinée. "Dans ce chaos provoqué par Emmanuel Macron, deux choses à faire absolument. Vérifier que vous êtes inscrits sur les listes électorales et signer la pétition pour la destitution du président".
Son homologue socialiste, Pierrick Courbon a envoyé un communiqué en début de soirée, "je mesure la gravité de la crise politique dans laquelle le Président de la République plonge les Françaises et les Français depuis de nombreux mois et qui s’est brutalement accélérée depuis ce matin (...) Le socle commun a implosé, noyé dans ses propres contradictions. Les macronistes sont les seuls responsables du chaos avec les Républicains, qui ont finalement refusé de participer au gouvernement pour des raisons opportunistes. Aujourd’hui, trois solutions s’offrent au chef de l’État : la démission, la dissolution, ou la nomination d’un Premier· ministre issu de la gauche et des écologistes".
Emmanuel Mandon, député Modem a aussi eu un mot, à la suite de la cacophonie ambiante, en reprendre un post du président des députés démocrates à l'Assemblée nationale, Marc Fesneau, "Difficile de mettre des mots sur une telle situation. L’approche des futures échéances électorales n’excuse pas tout ! Quelle médiocrité dans les postures ces dernières heures".
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