Comment Orient’Action accompagne les Ligériens dans leur projet de reconversion professionnelle

20 octobre 2020 à 11h00 par Fabien Zaghini

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[Publi-rédactionnel] Vous rêvez de changer de direction ? Les motivations sont nombreuses pour engager une reconversion professionnelle, mais le projet est trop vaste pour se lancer sans soutien. Orient’Action accompagne les actifs ligériens dans leur évolution professionnelle, afin de les aider à trouver le métier qui les rendra heureux.

La reconversion n’a pas d’âge, mais c’est souvent en milieu de carrière que les salariés dressent un premier bilan et ouvrent la porte à un changement. «Ils ont entre 40 et 45 ans et ne veulent pas faire la même chose toute leur vie. Ils ne supportent plus le stress ni les rapports hiérarchiques, ou alors ils ne se sentent pas heureux ou souhaitent donner du sens à leur activité professionnelle» liste Anne-Sophie Ringot qui en rencontre tous les jours. Cette coach en mobilité professionnelle est à la tête de cinq des six cabinets ligériens du Groupe Orient’Action, le leader du bilan de compétences en France. Dans le département, il est présent à Saint-Étienne, Saint-Chamond, Roanne, Saint-Just-Saint-Rambert et Montbrison depuis le 12 octobre. Le bilan de compétences, c’est justement le point de départ d’un projet d’évolution professionnelle.

Le bilan de compétences, première étape vers une nouvelle vie



«Le but de la démarche est de trouver un projet adapté à soi, qu’il s’agisse de changer de métier ou de rebondir après une perte d’emploi» pose Anne-Sophie Ringot. «Le rôle d’un consultant Orient’Action sera de travailler sur le profil de la personne et ses centres d’intérêt, avant de confronter ces éléments à la réalité du marché économique local. Le CV n’est qu’une toute petite partie de cette remise en question, dont l’objet est de se repositionner et de savoir pourquoi et comment on peut changer de voie professionnelle.» Pour cela, les coachs du réseau Orient’Action dans la Loire appliquent une méthode mêlant tests et entretiens individuels, afin d’apporter ce regard extérieur et objectif si précieux. «C’est un processus d’une vingtaine d’heures sur une période de trois mois environ, exclusivement sur la base de rendez-vous individuels» précise Anne-Sophie Ringot. «On va creuser le projet en organisant des rencontres avec des professionnels. Et au final, on a grosso modo un tiers des personnes qui se rend compte que son idée de départ n’est pas viable, un tiers qui concrétise son projet de mobilité externe et un autre tiers qui prend son envol en indépendant.»



Entre le bilan de compétences et le premier jour du reste de leur vie professionnelle, les actifs en voie de reconversion sont souvent appelés à passer par la case formation… ou validation des acquis et de l’expérience. «Le diplôme reste très important en France, et la VAE permet justement d’obtenir un niveau supérieur pour postuler sur des postes réclamant un niveau bac +2 ou bac +3 par exemple» précise la gérante des cabinets Orient’Action dans la Loire. Ici, l’accompagnement est déterminant pour décrocher une certification à l’issue d’un passage devant un jury professionnel, car le chemin pour y parvenir est fortement empreint de formalisme : «Il faut monter un premier dossier de recevabilité, puis un second pour démontrer que son expérience couvre le référentiel du diplôme visé». Et au-delà de la VAE, Orient’Action oriente vers les formations et les financements nécessaires à l’aboutissement du projet professionnel.

Une démarche finançable à 100% avec le CPF



Le financement ? Parlons-en : le bilan de compétences et la validation des acquis et de l’expérience sont tous deux éligibles au compte personnel de formation (CPF). Un outil dont disposent tous les salariés mais qui manquent parfois de visibilité et de lisibilité. «Trop souvent encore c’est par le bouche-à-oreille que nous nous faisons connaitre» concède Anne-Sophie Ringot. «Les salariés ignorent souvent qu’ils disposent avec le CPF d’une cagnotte pour financer en totalité une formation ou une démarche de reconversion. On s’occupe également de les accompagner sur ce plan.» À ce titre, les actifs n’ayant pas encore renseigné leurs heures de DIF cumulées avant 2015 ont jusqu’au 31 décembre pour les créditer sur leur espace moncompteformation.gouv.fr ou l’appli Mon CPF, sans quoi ils en perdront le bénéfice. Cela peut représenter jusqu’à 1800€, soit sensiblement l’équivalent du coût d’un bilan de compétences ou d’une VAE !

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