Paris-Nice : pour la 60è à Sainté, un contre-la-montre et un historique s'imposent
7 mars 2018 à 6h34 par Anthony Verpillon
C’est le grand jour pour tous les amateurs de cyclisme dans la Loire ! Le Paris-Nice revient à St Etienne pour la 60ème fois de l’histoire de la course au soleil. Avec un contre-la-montre relevé au programme ce mercredi, entre La Fouillouse et le Stade Geoffroy Guichard.
18km400 fait de lignes droites, de bosses et de suspense. C’est en tout cas ce que promet Christian Prudhomme, directeur de course du Paris-Nice, mais aussi du Tour de France :
Cette quatrième étape du Paris-Nice 2018 dans la capitale ligérienne, marque donc la 60è venue de la course au Soleil à Saint-Etienne. Un petit historique des meilleurs souvenirs stéphanois sur la compétition s'imposait donc :
Saint-Etienne et le Paris-Nice, c’est une histoire d’amour sur le très long terme. Une ville-étape essentielle donc aux yeux du directeur de la course, Christian Prudhomme :
Alors que la course voit le jour en 1933 – année du professionnalisme de l’ASSE – elle prend ses marques à Saint-Etienne dès la troisième édition. En 1935 Saint-Etienne entre dans la danse, à la place de…Lyon après le désengagement du journal du Lyon Républicain qui prenait part à l’organisation de la course. Et cette année-là, le premier coureur à s’imposer à Sainté, c’est le belge Antoine Dignef.
L’année suivante, Saint-Etienne deviendra même le fossoyeur de la course avec l’élimination des coureurs qui accuseront un retard de plus de 45 minutes en arrivant à Saint-Etienne. Cela n’empêche pas de très grands noms du cyclisme de s'imposer à Sainté dans une épreuve qui s’appellera même le Paris-SaintEtienne-Nice pendant quelques années, à partir de 1962. On notera notamment Louison Bobet en 1951 ; les deux succès d’Eddy Merckx en 1969 et 1970 ; Lance Armstrong en 1995, ou encore Laurent Jalabert en 2002. La dernière arrivée du Paris-Nice à Saint-Etienne c’était il y a 9 ans, en 2009, avec une victoire de Vande Velde. Alors que 2015 marquera un départ d’étape.
À noter que le premier coureur à s’élancer de La Fouillouse, le lituanien Ionatas Konovalovas s’élancera à 13h36. Le 150è, ce sera le leader au général, Luis Léon Sanchez. Hier, le français Jonathan Hivert s’est imposé à Châtel-Guyon.
Le contre-la-montre des indécis
18km400 fait de lignes droites, de bosses et de suspense. C’est en tout cas ce que promet Christian Prudhomme, directeur de course du Paris-Nice, mais aussi du Tour de France :
83 ans d'histoire d'amour
Cette quatrième étape du Paris-Nice 2018 dans la capitale ligérienne, marque donc la 60è venue de la course au Soleil à Saint-Etienne. Un petit historique des meilleurs souvenirs stéphanois sur la compétition s'imposait donc :
Saint-Etienne et le Paris-Nice, c’est une histoire d’amour sur le très long terme. Une ville-étape essentielle donc aux yeux du directeur de la course, Christian Prudhomme :
Alors que la course voit le jour en 1933 – année du professionnalisme de l’ASSE – elle prend ses marques à Saint-Etienne dès la troisième édition. En 1935 Saint-Etienne entre dans la danse, à la place de…Lyon après le désengagement du journal du Lyon Républicain qui prenait part à l’organisation de la course. Et cette année-là, le premier coureur à s’imposer à Sainté, c’est le belge Antoine Dignef.
L’année suivante, Saint-Etienne deviendra même le fossoyeur de la course avec l’élimination des coureurs qui accuseront un retard de plus de 45 minutes en arrivant à Saint-Etienne. Cela n’empêche pas de très grands noms du cyclisme de s'imposer à Sainté dans une épreuve qui s’appellera même le Paris-SaintEtienne-Nice pendant quelques années, à partir de 1962. On notera notamment Louison Bobet en 1951 ; les deux succès d’Eddy Merckx en 1969 et 1970 ; Lance Armstrong en 1995, ou encore Laurent Jalabert en 2002. La dernière arrivée du Paris-Nice à Saint-Etienne c’était il y a 9 ans, en 2009, avec une victoire de Vande Velde. Alors que 2015 marquera un départ d’étape.
À noter que le premier coureur à s’élancer de La Fouillouse, le lituanien Ionatas Konovalovas s’élancera à 13h36. Le 150è, ce sera le leader au général, Luis Léon Sanchez. Hier, le français Jonathan Hivert s’est imposé à Châtel-Guyon.