Basket : les Roannais naufragés de la route !
Publié : 23 octobre 2017 à 10h35 par Fabien Zaghini
Après l'affaire du bus de Knysna, celle du bus de la Chorale de Roanne. Pas de grève cette fois-ci avec les basketteurs roannais, mais une panne qui a retardé leur retour de Denain samedi matin. Notre récit.
Les joueurs de la Chorale de Roanne ne voyagent pas en avion privé comme leurs homologues de l'AS Saint-Etienne, mais dans un bus aux couleurs du club. Samedi, ce n'est pourtant pas dans ce véhicule de 50 places spécialement aménagé pour son confort que la délégation roannaise a achevé son trajet retour depuis le Nord, mais entassée dans un mini bus, avec 7 heures de retard sur l'horaire prévu.
Le premier incident se produit à 2h30 du matin à Montargis : une durite de carburant qui saute, une bonne heure d'attente avant qu'un dépanneur n'intervienne, et des joueurs contraints d'attendre à l'extérieur du bus par mesure de sécurité. Le véhicule repart mais la solution de fortune fait long feu à Cosne-sur-Loire quelques kilomètres plus loin. Et cette fois-ci, l'attente va durer près de 5 heures avant qu'un dépanneur n'exfiltre le bus de l'autoroute et qu'un autre modèle moins adapté ne soit dépêché depuis Nevers pour ramener les Roannais à destination.
13 heures pour parcourir 600 km : une nuit de galère vécue malgré tout avec philosophie par les hommes de Laurent Pluvy : la victoire à Denain (88-90) la veille a bien aidée !
Les joueurs de la Chorale de Roanne ne voyagent pas en avion privé comme leurs homologues de l'AS Saint-Etienne, mais dans un bus aux couleurs du club. Samedi, ce n'est pourtant pas dans ce véhicule de 50 places spécialement aménagé pour son confort que la délégation roannaise a achevé son trajet retour depuis le Nord, mais entassée dans un mini bus, avec 7 heures de retard sur l'horaire prévu.
13 heures pour faire 600 km
Le premier incident se produit à 2h30 du matin à Montargis : une durite de carburant qui saute, une bonne heure d'attente avant qu'un dépanneur n'intervienne, et des joueurs contraints d'attendre à l'extérieur du bus par mesure de sécurité. Le véhicule repart mais la solution de fortune fait long feu à Cosne-sur-Loire quelques kilomètres plus loin. Et cette fois-ci, l'attente va durer près de 5 heures avant qu'un dépanneur n'exfiltre le bus de l'autoroute et qu'un autre modèle moins adapté ne soit dépêché depuis Nevers pour ramener les Roannais à destination.
13 heures pour parcourir 600 km : une nuit de galère vécue malgré tout avec philosophie par les hommes de Laurent Pluvy : la victoire à Denain (88-90) la veille a bien aidée !