Saint-Etienne : Top départ pour le marché de Noël

Plus de 60 chalets. Une patinoire. Une descente en luge. Des photos souvenirs sur le traineau du Père Noël. Cette année, la Ville de Saint-Etienne espère "mettre des paillettes dans les yeux des gens" avec le marché de Noël et ses festivités.

Pascale Lacour, adjointe à la mairie en charge d'une commerce, lors d’une conférence de presse, présente le programme avec le sourire. Le public pourra profiter du village, composé d’une soixantaine de chalets, du 22 novembre au 31 décembre.

Il sera ouvert de 10h30 à 20 heures du dimanche au jeudi, et les vendredi et samedi, sa fermeture est repoussée à 21h30.

Quelques nouveautés, du côté des chalets, pour cette édition : une bière artisanale d’Ardèche, plus de produits locaux, un vendeur de fruits secs, etc. Cette année encore les petits et les grands pourront enfiler des patins et glisser sur la place Jean-Jaurès, ou faire la course sur la piste de descente en luge.

690 000 euros de budget

Pascale Lacour appuie sur la magie des festivités. "J’ai voulu quelque chose de féérique pour bien représenter Noël." Pour ce faire, la dimension culturelle a été accentuée. Des spectacles et défilés auront lieu les week-ends, les musées de la ville mettent en place des ateliers et les Maison des Projets proposent des animations autour de l’art et de la robotique.

690 000 euros, c’est le budget mobilisé par la mairie pour le marché de Noël. Chaque année, cet événement brasse beaucoup de monde à Saint-Etienne. Les patrouilles pédestres, et à cheval ont donc été renforcées, afin d’assure "la quiétude du lieu", explique Nicole Peycelon, adjointe à la mairie en charge de la tranquillité publique et de la propreté.

Face à l’afflux de visiteurs et du nombre de chalets alimentaires, les déchets risquent d’être conséquents. Pour pallier une éventuelle accumulation d’ordures, la mairie demande aux citoyens d’être davantage responsables. Elle va également renforcer le passage des agents de nettoyage, mettre en place, en partenariat avec la Métropole, des ramassages de containers les dimanches. Les commerçants, eux, doivent faire attention à ne pas jeter les huiles usagées dans les grilles d’évacuation. Nicole Peycelon insiste : "Tous responsables."