Saint-Just-Saint-Rambert : le projet d'extension du Family Cinéma refusé par la CNACi
Publié : 6 juin 2019 à 17h31 par Clémence DUBOIS TEXEREAU
Après l'examen, mercredi à Paris, des recours déposés contre le projet de création de deux salles supplémentaires au Family Cinéma de Saint-Just-Saint-Rambert, la Commission nationale d'aménagement cinématographique (CDACi) a rendu un avis défavorable.
Six recours avaient été formés contre ce projet qui lui aurait permis d'approcher 1.800 fauteuils, moyennant un nouvel investissement de près de 3 millons d'Euros. Cet extension aurait par ailleurs abouti à ce que ce cinéma associatif soit le premier en France à entrer dans la catégorie des multiplexes (à partir de huit salles).
Les recours émanaient des exploitants des multiplexes stéphanois (Alhambra et Camion rouge), des Méliès Jean-Jaurès et Saint-François, de Saint-Etienne, du Rex de Montbrison, et du Véo Ciné de Saint-Chamond. Mais aussi de la ville de Saint-Etienne, dont l'adjoint à la Culture, Marc Chassaubéné, souligne « l'importance des cinémas pour le dynamisme du centre-ville ». Et enfin de la Médiatrice du cinéma, Laurence Franceschini, qui, de son côté, a pointé le « caractère suffisant de l'offre sur ce bassin de population et le risque de provoquer des dommages pour les cinémas existants, notamment ceux qui ont une offre d'Art et Essai sur Saint-Etienne ».
Six recours avaient été formés contre ce projet qui lui aurait permis d'approcher 1.800 fauteuils, moyennant un nouvel investissement de près de 3 millons d'Euros. Cet extension aurait par ailleurs abouti à ce que ce cinéma associatif soit le premier en France à entrer dans la catégorie des multiplexes (à partir de huit salles).
Six recours déposés
Les recours émanaient des exploitants des multiplexes stéphanois (Alhambra et Camion rouge), des Méliès Jean-Jaurès et Saint-François, de Saint-Etienne, du Rex de Montbrison, et du Véo Ciné de Saint-Chamond. Mais aussi de la ville de Saint-Etienne, dont l'adjoint à la Culture, Marc Chassaubéné, souligne « l'importance des cinémas pour le dynamisme du centre-ville ». Et enfin de la Médiatrice du cinéma, Laurence Franceschini, qui, de son côté, a pointé le « caractère suffisant de l'offre sur ce bassin de population et le risque de provoquer des dommages pour les cinémas existants, notamment ceux qui ont une offre d'Art et Essai sur Saint-Etienne ».