Les Dys : une journée nationale pour mieux comprendre ces troubles de l'apprentissage
Publié : 13 octobre 2017 à 9h30 par Clémence DUBOIS TEXEREAU
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Santé - Ce 14 octobre est la journée nationale des Dys. A savoir la dyslexie, dysphasie (trouble du développement du langage), ou encore la dyspraxie (geste). Des troubles cognitifs qui touchent entre 8 et 10% des enfants en France.
L'association Avenir Dysphasie Loire réunit des spécialistes ce samedi de 13h30 à 18h à la Cité du Design. Neurologues, ergothérapeutes, pédiatres présenteront des outils pour l'épanouissement des enfants et jeunes adultes et répondront aux questions du public. A noter que les troubles des Dys est la grande cause régionale 2017 : un livre blanc vient d'être édité.
"Ce sont des enfants parfaitement intelligents, il n'y a aucune déficience intellectuelle. Lorsque vous ne pouvez pas lire, écrire, compter à 20 ans... c'est très compliqué. Tous ont un manque de confiance en eux important". Sandrine Jacob, membre de l'association, est la maman d'Alexandre, 15 ans, dysphasique relativement sévère. Il habite Saint-Genest-Lerpt et est scolarisé dans un collège "ordinaire" à Saint-Galmier. Depuis son plus jeune âge, il est suivi par une AVS. "La prise en charge précoce notamment chez un orthophoniste est très importante pour la rééducation et la remédiation".
Témoignages :
Liens utiles : avenir.dysphasie.42@free.fr / www.facebook.com/Avenirdysphasieloire42
Un après-midi de sensibilisation à Saint-Etienne
L'association Avenir Dysphasie Loire réunit des spécialistes ce samedi de 13h30 à 18h à la Cité du Design. Neurologues, ergothérapeutes, pédiatres présenteront des outils pour l'épanouissement des enfants et jeunes adultes et répondront aux questions du public. A noter que les troubles des Dys est la grande cause régionale 2017 : un livre blanc vient d'être édité.
Une prise en charge précoce est très importante
"Ce sont des enfants parfaitement intelligents, il n'y a aucune déficience intellectuelle. Lorsque vous ne pouvez pas lire, écrire, compter à 20 ans... c'est très compliqué. Tous ont un manque de confiance en eux important". Sandrine Jacob, membre de l'association, est la maman d'Alexandre, 15 ans, dysphasique relativement sévère. Il habite Saint-Genest-Lerpt et est scolarisé dans un collège "ordinaire" à Saint-Galmier. Depuis son plus jeune âge, il est suivi par une AVS. "La prise en charge précoce notamment chez un orthophoniste est très importante pour la rééducation et la remédiation".
Témoignages :
Liens utiles : avenir.dysphasie.42@free.fr / www.facebook.com/Avenirdysphasieloire42