Firminy : huit ans qu'Adrien Fiorello a disparu et toujours aucune trace du jeune homme
8 octobre 2018 à 10h09 par Clémence DUBOIS TEXEREAU
Cela fait déjà huit ans qu’Adrien Fiorello a disparu du côté de Firminy… Huit ans que ses parents sont sans nouvelle du jeune homme de 22 ans à l’époque. Comme tous les jours, le 6 octobre 2010, il était parti le matin pour aller étudier à la fac de droit à Saint-Etienne, mais le soir il n’est jamais revenu.
Un dossier de disparition, parmi des dizaines d’autres dans la région, non élucidé. En début d’année, la justice a décidé d’élargir les recherches en direction de Nordhal Lelandais, le meurtrier présumé de la petite Maëlys et du caporal Arthur Noyer.
Huit années qui ont changé beaucoup de choses dans la vie de Marie-France, la maman d'Adrien
Marie-France veut continuer à se battre pour connaitre la vérité
Marie-France l'affirme. Sans Maëlys, hélas, de nombreuses familles seraient encore aujourd'hui bien seules. La disparition de la fillette à Pont-de-Beauvoisin, et la médiatisation de l'affaire, permettent de garder l'espoir de savoir un jour
L’un des éléments de l’enquête qui fait penser à Nordhal Lelandais, c’est l’endroit où le téléphone portable d’Adrien a borné pour la dernière fois. C’était à Chambéry.
Lelandais, une piste parmi d'autres
Un dossier de disparition, parmi des dizaines d’autres dans la région, non élucidé. En début d’année, la justice a décidé d’élargir les recherches en direction de Nordhal Lelandais, le meurtrier présumé de la petite Maëlys et du caporal Arthur Noyer.
Huit années qui ont changé beaucoup de choses dans la vie de Marie-France, la maman d'Adrien
Marie-France veut continuer à se battre pour connaitre la vérité
L'affaire Maëlys a permis des avancées
Marie-France l'affirme. Sans Maëlys, hélas, de nombreuses familles seraient encore aujourd'hui bien seules. La disparition de la fillette à Pont-de-Beauvoisin, et la médiatisation de l'affaire, permettent de garder l'espoir de savoir un jour
L’un des éléments de l’enquête qui fait penser à Nordhal Lelandais, c’est l’endroit où le téléphone portable d’Adrien a borné pour la dernière fois. C’était à Chambéry.